This post was written by Phindile Jane Tsela, third place winner of the LovePulses Product Showcase Virtual Competition.
Pulses are part of my diet almost daily. They are an affordable and an alternative low-fat source of protein, fibre, vitamins and minerals. Pulses contribute towards one’s recommended five portions of fruit and vegetables. Just ½ a cup of beans per day reduces cholesterol, manage hunger and provide a sustainable source of proteins.
In 2013 the United Nations declared that 2016 will be the International Year of Pulses. The International Year of Pulses, or “IYP”, is an opportunity for pulses to take centre stage and for people around the world to learn more about the importance of adding pulses to their diets.
In celebrating the IYP 2016, a Food Technologist from Malkerns Research Station - Swaziland, has come up with an innovative way of making pulses part of a diet for the whole family. A new mouth- watering BEAN JAM has been developed. People from all walks of life, who attended the Food Expo at Mavuso Trade Centre, tasted and appreciated the unique bean product and more than 1000 pamphlets on bean jam recipe were distributed to the public.
The Bean Jam ……Oh it’s so delicious, light brown in colour, sweet and smooth – and it is love at first taste for everyone, it’s a big hit!
It creates an interesting sweet taste to non-bean lovers especially children. It is indeed a sweet protein paste. Just a little change from the norm – boiled, stewed as a relish to paste in bread with beany sweet taste.
At the Pan-African Grain Legume and World Cowpea Conference held in Livingstone, Zambia (2016) more than 400 Delegates flocked to the CIAT/PABRA stand to taste the amazing bean jam, including the Zambian Minister of Agriculture, the honourable Given Lubinda MP.
The more versatile beans are, the more they will be eaten. Remember variety is the spice of life.
Bean Jam Recipe
Ingredients
2 cups cooked mashed beans
2 cups white sugar
125ml lemon juice
4 cups water
Method
ENJOY!!
En cette année 2016 proclamée par la FAO année internationale des légumineuses, les pois, féverole, lupin, soja, lentille, pois chiche ou luzerne présentent des avantages in-dis-cu-tables ! Parce qu’elles ont des atouts alimentaires déterminants et qu’elles se passent d’engrais azotés, les légumineuses sont des éléments clé d’une agriculture et d’une alimentation durables. A ces enjeux se rajoute un autre défi du 21ème siècle : l’indépendance en protéines végétalesde la France comme de plusieurs pays au Sud du Sahara.
Dans ce contexte, l’Inra, le Cirad, Terres Univia et Terres Inovia organisent les 1ères Rencontres Francophones sur les Légumineuses les 31 mai et 1er juin 2016 à Dijon. Deux journées internationales inédites qui réuniront plus de 200 experts pour discuter de la place des légumineuses dans l’agriculture et de leurs produits en alimentation humaine et animale.
Spaghettis 100% légumineuses contenant deux fois plus de protéines que les spaghettis classiques, yaourts enrichis en protéines végétales : les opportunités et innovations sont nombreuses. Et essentielles : alors que la population mondiale ne cesse d’augmenter, la demande en protéines croît. Là où les protéines animales viennent à manquer, les protéines végétales peuvent répondre à ces besoins accrus. Par ailleurs, riches en fibres, vitamines, minéraux et contenant de l’amidon à digestion lente, elles sont bonnes pour notre santé.
Bonnes pour l’homme… et pour les animaux aussi : les légumineuses sont aussi bonnes pour nourrir les ruminants et les monogastriques (porcs).
Protéines végétales : les avancées de la recherche
Quelles cultures développer et comment ? Au sein de la famille des légumineuses, certaines espèces comme le pois, la féverole, le lupin, le soja etc. sont récoltées sous forme de graines et sont destinées à l’alimentation humaine et animale. D’autres comme la luzerne, le trèfle, le lotier, etc. sont récoltées comme fourrage. Dans certains pays d’Afrique, au Sud du Sahara, les légumineuses à graines telles que l’arachide et le niébé ont un double usage : les graines servent à la consommation humaine tandis que les feuilles et les tiges sont utilisées comme fourrage.
Longtemps parents pauvres de l’agriculture de plusieurs pays, les légumineuses sont néanmoins des cultures cruciales pour une agriculture et une alimentation durable et sont essentielles pour parvenir à l’indépendance française d’approvisionnement en protéines végétales. Redynamiser la culture des légumineuses est aujourd’hui une priorité pour l’agriculture française. Des programmes de R&D sont engagés pour sélectionner des variétés adaptées au changement climatique ou pour trouver des solutions aux ravageurs présents en culture.
Des ressources précieuses pour le Sud
Riches en acides aminés et en vitamines, les légumineuses sont une importante source de protéines pour les Hommes et le bétail, contribuant ainsi à la lutte contre la malnutrition. Elles permettent également de réduire la pauvreté : peu demandeuses en fertilisants, elles sont cultivables à moindre coût par les petits producteurs qui n’ont souvent pas les moyens de se procurer les intrants requis par les autres cultures. Ils peuvent aussi augmenter leurs revenus en commercialisant une partie de leur production. Enfin, cultiver des légumineuses permet d’améliorer la qualité des sols. Un bémol toutefois : sous les tropiques les rendements de nombreuses espèces de légumineuses sont peu élevés. Les chercheurs et les sélectionneurs travaillent à les améliorer en mettant au point de nouvelles variétés et en optimisant les méthodes de production.
Des atouts écologiques indéniables : des graines bonnes pour la planète
Les légumineuses participent aussi à la lutte contre le changement climatique. En s’associant avec une bactérie, elles peuvent assimiler l’azote de l’air. Nul besoin donc d’engrais. Et ce n’est pas tout ! Elles contribuent aussi à diminuer les émissions d’un gaz à effet de serre très puissant au pouvoir de réchauffement climatique environ 300 fois plus élevé que le gaz carbonique : le protoxyde d’azote (N2O).
Avec de telles caractéristiques, il existe un fort intérêt agronomique à les associer avec des céréales dans un même champ. Pourquoi ? Intégrer des légumineuses dans les systèmes de rotation permet de réduire l’utilisation d’herbicides, de fongicides et d’engrais, tout en entraînant des rendements plus stables. De réels atouts dans un contexte climatique changeant.
L’Inra, le Cirad, Terres Univia et Terres Inovia vous donnent donc rendez-vous à Dijon les 31 mai et 1er juin pour les 1ères Rencontres Francophones sur les Légumineuses (RFL1) afin d’échanger à travers diverses présentations orales, expositions de produits, rendez-vous d’affaire et visite de terrain.
Consulter le programme complet en ligne : https://www.b2match.eu/rencontres-francophones-legumineuses/pages/11101-conferences-communications-orales
Pour toute inscription au colloque qui se déroulera du 31 mai au 1er juin prochain à Dijon, ou pour toute demande presse sur cet évènement, merci de contacter Alissa Scholl - This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. – T. 01 39 53 53 33
Plus d'information :
Contact(s)
This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.(01 42 75 91 86)
This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.(04 67 61 58 48 )
This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.(01 39 53 53 33)
A PROPOS DE
Cirad
Le Cirad est l’organisme français de recherche agronomique et de coopération internationale pour le développement durable des régions tropicales et méditerranéennes. En partenariat avec les pays du Sud dans leur diversité, le Cirad produit et transmet de nouvelles connaissances et des innovations, pour accompagner leur développement agricole et contribuer au débat sur les grands enjeux mondiaux de l’agronomie. Ses activités relèvent des sciences du vivant, des sciences sociales et des sciences de l’ingénieur appliquées à l’agriculture, à l’alimentation, à l’environnent et aux territoires ruraux. Cet établissement public à caractère industriel et commercial, qui compte 1650 agents dont 800 chercheurs, dispose d’un réseau mondial de plus de 160 institutions partenaires et de 12 directions régionales implantées en Afrique, en Asie et en Amérique centrale et du Sud, à partir desquelles il mène des activités de coopération avec plus de 100 pays.
Terres Univia
Terres Univia est l’interprofession des huiles et protéines végétales. Elle réunit depuis le 9 juin 2015 le savoir-faire de l’ONIDOL et de l’UNIP. Sa mission : mettre en œuvre une ambition française avec toujours plus de souveraineté alimentaire dans le secteur des huiles et des protéines destinées à l'alimentation humaine. Sans oublier de relever le défi de produire des protéines végétales destinées à l'alimentation animale, et de contribuer à l'essor des filières de l'oléochimie.
Terres Inovia
Terres Inovia est l’institut technique des professionnels de la filière des huiles et protéines végétales et de la filière chanvre. Sa mission est d’améliorer la compétitivité des oléagineux, des protéagineux et du chanvre, en adaptant la production des cultures et la valorisation des produits au contexte économique et aux demandes sociétales. Terres Inovia, issu du rassemblement du CETIOM et du service technique de l’UNIP, regroupe 150 collaborateurs.
by Milan Shah
Teaching my grandmother to suck eggs is not an activity in which I am practiced, being denied the opportunity because she will not touch them, resting somewhere on the spectrum between a vegetarian and a vegan. As a Jain, she adheres to the principle of ahimsa (अहिंसा) and her diet reflects this unwillingness to harm or injure other beings. Anekāntavāda (अनेकान्तवाद) is another key Jain tenet, reflecting the “many-sidedness” of truth and reality. My grandmother used to explain it to me by the ancient parable of the elephant, which still remains a valuable pedagogical tool on multi-perspectivity in a variety of contexts.
May 20, 2016, CESME, TURKEY – The Global Pulse Confederation (GPC) has announced the winners of a global online competition seeking the most innovative products made from pulses, the edible seeds of plants in the legume family which include beans, peas, chickpeas and lentils.
Charlotte Reynolds, a final year student at Harper Adams University (UK), won first place for her recipe ‘Blooming Food Lupin Crisps’ and will attend the Global Pulse Convention in Turkey to accept her award.
The virtual competition is part of the LovePulses Product Showcase that was staged to celebrate the 2016 International Year of Pulses. The showcase is meant to encourage the development of new and innovative food products featuring pulses to promote food security and nutrition. In addition to the virtual competition, 5 national competitions have already taken place since January in Ethiopia, India, Canada, USA, and Morocco. Two more are scheduled in the next months in Australia and Japan.
The virtual competition was judged by an international panel led by Dr Mahmoud Solh, Director General of the International Center for Agricultural Research in the Dry Areas (ICARDA), a leading agricultural research institute for pulses.
“Pulses are some of the most overlooked yet critical food sources on the planet,” Dr Solh says. Solh applauded the wide range of entries to the competition, which included pulse-based macarons from France, soy power bars from Tanzania, pulse-flax-millet chips from India and a chickpea flatbread from Lebanon: “We were delighted with the creativity showcased by the competition applicants from such diverse culinary heritages.”
“Lupin beans are high in protein, dietary fiber and antioxidants yet low-fat and naturally gluten-free,” says Reynolds, “They also give my crisps a beautifully vivid yellow color and a crispy texture compared to many other kinds of crisps on the market.”
In addition to attending the Global Pulse Convention in Cesme, Reynolds will be given an all-expenses paid trip to the Institute of Food Technologists Expo in Chicago from 17-19 July where she will have the opportunity to formally showcase her innovations alongside other winning teams with the aim of getting her product commercialized.
“Blooming Food has far exceeded my original objectives to plan and complete a successful research project,” says Reynolds. “It has evolved into the opportunity to produce an ‘on trend’ commercially viable product that I hope to launch into retailers across the UK and even internationally.”
The second place prize went to Ugandan national, Harriet Lowalem, for her bean amaranth energy bar. “My bar has a caramel flavor and is made from popped amaranth, cooked beans, honey and melted sugar”, said Harriet.
Third place was given to a “bean jam” recipe created by Phindile Jane Tsela from Swaziland. With its ease of preparation and high nutritional value, Tsela has been promoting the product within Africa as a versatile way of improving people’s diets. “The Bean Jam is light brown in colour, sweet and smooth – and it’s a big hit,” Tsela says. “Remember, variety is the spice of life.”
“These winners have the chance of a lifetime to pitch their product ideas to thousands of food science and technology professionals this summer,” says Huseyin Arslan, President of the Global Pulse Confederation, which sponsored the event. “We were genuinely impressed with how creatively and diversely the entries made use of pulses.”
- ENDS -
NOTES TO EDITORS:
About the #LovePulses Showcase Competition
The virtual competition was open from October 2015 through March 2016 and was eligible to any individual or team with a food innovation using pulses. These could include innovations to traditional foods, to consumer packaged food products as well as in how pulses are processed prepared or used in humanitarian efforts. The global panel of judges included representatives from pulse industry, food industry, and academia. Judging criteria included the following elements: sensory (product appearance, flavor & texture); innovation (originality, potential use of pulses, health potential, marketing plan); and delivery (written report, promotional material, creative presentation).
About the Global Pulse Confederation
The Global Pulse Confederation (GPC) is the global not for profit trade organization for the global pulse industry value chain. As the sole international confederation for the industry, it enjoys membership from 18 national associations (federations) and over 600 private sector members in an industry worth over $100 Billion at the retail level and over 60 million tonnes of pulse production and distribution in over 55 countries. GPC is headquartered in Dubai http://iyp2016.org/about-us/global-pulse-confederation-cicils-iptic
UN Assembly Resolution on the 2016 International Year of the Pulses: http://www.un.org/en/ga/search/view_doc.asp?symbol=A/RES/68/231&Lang=E
About the IFT Expo
This global event presents the latest trends, newest products, and the most recent innovations driving food science. More than 23,000 top food science and technology professionals from more than 90 countries, representing the most prominent organizations in the global food sector, will convene in Chicago in July 2016.
MEDIA CONTACT:
Morgane Danielou
This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
+33698985619
SOCIAL MEDIA RESOURCES: